Voilà , j’y suis revenue. Et je comprends, heureuse, pourquoi j’y suis. C’est dur à dire, il faut le vivre, se poster à un carrefour par exemple et observer. Savoir qu’on a pas les codes innés et rester humble. Laisser venir, découvrir, apprendre, rencontrer et échanger.
Ouaga a grandi encore, l’aéroport est presque en ville, car le terrain vague entre les 2 est entièrement construit. Il n’y a pas longtemps un immeuble tout neuf s’est écroulé, mal construit, sans doute à l’économie. C’est comme çà ici.
L’avion qu’on voyait au bout de la piste a commencé à être démonté pour être revendu en pièces détachées petit à petit, çà fait bizarre quand même dans le paysage, mais çà dit aussi comment c’est ici.
Je finalise la mise en route à Ouaga de la « mission » Filles du Facteur pour Monoprix avec Philippe Yoda et Anetina, la présidente de l’asso-soeur des femmes de Tiebele avec lesquelles on va travailler, et je file au village pour ENFIN, vraiment commencer .
Salut Delphine, je suis de retour à Paris alors j'avais bien besoin d'un petit tour sur ton blog pour me re-dépayser ! Je te souhaite des tonnes de bonnes choses africaines et à tout bientôt, fais moi signe quand tu rentre, GROBIZOU !
Rédigé par : minuscule expo | 25 août 2009 à 10:51