(voir chapitre précédent) En 2000 Malo Kélé enregistre 2 compilations, et se rapproche de la danse africaine. Un événement douloureux le touche et Malo ne chante plus pendant quelques années. Un jour que l’ANPE lui trouve un boulot de plongeur dans un restaurant, Malo casse un verre et se blesse à peine arrivé, puis n’arrête pas de chanter pendant le service. A la fin de la journée il est viré.
En 2004, la renaissance s’opère, son groupe devient les Mercenaires de la Joie.
Lors d’une journée solidaire à la Maison de la Mixité Paris 20ème, où je présente avec Amara, les ateliers photo au sténopé de FC avec dégustation de Ginbriscus, je rencontre Bido, chanteur congolais indépendant. Il me présentera son pote Malo, et tous joueront à mon retour d'Afrique en février 2007 (un an déjà ...) sur la petite scène de la rue Quincampoix.. Les voisins s'en souviendront longtemps, quand 3 guitares, 3 chanteurs, une batterie propulsèrent la cadence zaîroise à travers la verrière. Nous on dansait, on était dans la joie. Depuis, promis, on ne dépassera pas 10H, et vous serez prévenu du style de son quand on le refera (rêve).
Malo Kélé et les Mercenaires de la Joie au New Morning samedi 23 février
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