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la famille musicos-latinos plonge dans les préparatifs de l'atelier : les chutes des bambous verts envoyés par Jean-Jacques pour la baleine (aîîîîh je m'ai trahi trop tard, çà devait être faire la surprise du poisson d'avril.....) vont faire des kazoux (Nana&Benoa's Enterprise) et une magnifique flûte de pan
dans la meilleure tradition chilienne ou bolivienne, des vieux tuyaux de chantier vont gratter le rythme sans qu'on ait rien à changer juste la déco, (Brasiiiiiiiil !!!!!!!!!), nos tables vont faire les tambours du steel-band (Trinidaaaaaaaaad!!!!!!) montés sur les chariots de caddie du vieux stock de FC maroquinerie-vintage ...
Et puis les musiciens s'immergent dans les matériaux et les couleurs, des robes,
des chapeaux, on aura tout ce qu'il nous faut. le trop plein de nos créations et ce qui restera des matériaux, seront dispo demain avant 16H, pour ceux qui au dernier moment ont envie de participer au défilé.
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c'est Pierre-Alain et son bébé, accompagnés de Malo. çà fait drôle de penser que sur ces planches-mêmes, en février dernier, ils nous donnaient cet inoubliable concert zaîrois ...
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reprise en mains par un spécialiste bien-aimé (je le connais, il peut TOUT FAIRE ! chance !)
nous les filles on s'était embarqué dans un trux plus compliqué, souf sauvé ! ...
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Avant/après
. sorti des abysses (dans la cave, un stock d'emballages d'ordi) et des mains de Max et Bati : une seiche ... un poulpe ... un kesaijencore à grande gueule vient rejoindre la faune aquatique et imaginaire qui commence à envahir l'atelier.
un rouleau 
de stickers "craint l'humidité" trouvé dans la rue a ravi des créateurs en herbe passionnés : un bâton de pluie, et une collection de bouteilles plastiques et de canettes stickées prête l'emploi pour les arrivés non-costumés. 
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tout s'est endormi, figé dans l'attente active (la préparation du carnaval) .... enfin je dispose d'un immense atelier
à propos : système D = rien n'est impossible
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les costumes attendent le jour J, les queues des vraies sirènes (qui se feront transporter) et de celles qui marchent (queue en traîne = jupe fendue), les matrices en papier mâché sont prêtes à recevoir d'autres masques, mais il ne faut pas oublier le temps de séchage . le compte à rebours a commencé ...
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support papier enfin, plongée dans le pavé du Dictionnaire des Symboles : après le paragraphe d'introduction sur la nymphe séductrice (encore un mythe solide construit sur l'aventure d'Ulysse se faisant attacher à son mât pour échapper à leur chant tout comme le gingembre trimballe son étiquette d'aphrodisiant), on passe à leur origine ailée. Les sirènes en Egypte ancienne étaient des oiseaux à tête et à pieds humains. Puis on passe en Grèce à leur rivalité avec les Muses, un concours de chant, un échouage sur les rives de Naples et la naissance de la cité. Pour finir par l'imaginaire chrétien avec fusion de l'air, de l'eau, du feu et de la terre. La dualité de l'union du "souffre naissant" - le poisson - avec le mercure commun - la Vierge (voir Lait) ...(sic)
Et puis la Petite Sirène d'Andersen qui pour l'ammour d'un prince humain accepte dans les pires souffrances de perdre sa voix enchanteresse pour acquérir des jambes à la place de sa queue de poisson. Concernant le DisneyWorld'movie, vous vous documentez de votre côté sur les nuances, presque tous les enfants du moment bien formatés comme il se doit sont là pour çà.
Conclusion du Dictionnaire des Symboles et re-sic : sortir de la grande mer de l'"Inconscient, pour tenir les pieds sur terre en gardant le tête tournée vers les cieux ... vous me suivez ?... d'où la liquidaxyon arrosée au ginbriscus tout çà ... sur ce je n'ai plus qu'à changer de registre et à me remettre à mon dossier terrestre ... vous savez, celui qui va tout faire pour appuyer celui du jeune Prince 3,14 et lui faire gagner l'oasis urbain, lieu commun de travail et de rencontres d'humains appelé Facteur Céleste ...
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Il pleut, avril et son lot de poissons le premier pointe le nez, dans une semaine ce sera le jour J de notre défilé déguisé et sonore. 
Mais qui est cette Mami Wata, l'égérie de ce jour ? Merci Wikipédia qui va nous dire tout çà :
'''Mami Wata''' : son nom est une adaptation de l'anglais ''mommy water'', elle est aussi appelée ''Yemendja'' dans la tradition du vaudou Haitien, un culte spécial lui est même consacré. C'est la mère des eaux, déesse crainte des pêcheurs, elle symbolise aussi bien la mer nourricière que l'océan destructeur. Mami Wata est avant tout une divinité Ewe, dont le culte est très présent sur la côte atlantique du Bénin, berceau du vaudou (Togo, Ghana, mais aussi Nigéria, Cameroun, et Congo) où elle symbolise la puissance suprême, de même que la déesse Durga du panthéon hindouiste symbolise la shakti.
Mami Wata est souvent représentée en peinture où elle figure sous les traits d'une sirène ou d'une belle jeune femme brandissant des serpents.
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