C'est l'histoire de la dernière "roulotte " de Paris. Quand les engins à moteur n'existaient pas, que les rues sonnaient des claquements de sabots, que cette tapissière, puisque c'est son vrai nom, transportait
des fromages sur le marché de Picpus.
Puis sur ces flans, collé, le logo déglingué qui signe le manifeste.
Bientôt l'histoire de Peter va se terminer et voici celle de la roulotte.
A suivre.
tu me l'avais promise... elle est comme toutes tes histoires cette roulotte. Elle est belle comme ce lieu que tu tines à bout de bras, à bout de coeur.
Et comment va le sténopé. Cher céleste, chère mamma colère, je pars en bretagne pour voir la mer et puis je reviendrai et paris ce sera jolie pour venir vous voir.
Delfine j'ai mis l'autre jour mes chaussures argentées et j'ai pensé à toi parceque tu m'avais dit. Souvent je pense à toi.
Rédigé par : mariR | 13 juillet 2006 à 20:42