Les murs parlent. La nuit, il y pousse des affiches fabriquées par des artistes qui brûlent de se faire entendre. Leurs œuvres finissent par être arrachées par les collectionneurs, ou noyées par le jet des carsheurs de la Ville de Paris. Noir et blanc, photo, couleur.
Je suis jour après jour celui de la rue Quincampoix qui croise la rue Aubry le Boucher.
si vous zavez pas le temps de zoomer, il est écrit : je suis un morceau d'utopie
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