Les chaussures de Facteur Céleste ont toujours été faites au Pays Basque. A Mauléon très
exactement, la patrie de l’espadrille. La semelle est faite en corde de jute, elle est mise en forme à la machine tandis que le dessus en coton est cousu à la main.
L’espadrille classique peut s’agrémenter de lacets. Lors des fêtes les danseuses les attachaient autour de leurs chevilles d’une manière spécifique suivant la coutume de leur village.
30 €
La tuilière était portée par les ouvriers dans les tuileries du Sud-Ouest, et pendant la saison des vendanges. On l’appelle aussi la Picasso.
38 €
La vulcain était portée par les couvreurs qui appréciaient sa semelle en caoutchouc anti-dérapant. C’est l’ancêtre du pataugas, puis de la chaussure de sport.
du 41 au 43 / 50 €
Au fond de l’usine, j’ai découvert de rouleaux de tissu à espadrilles comme on en faisait dans le pays basque. Ceux-ci sont des vestiges des années 60 car les usines se sont définitivement arrêtées.
Espadrille vintage 50 €
DK a brodé des espadrilles blanches avec du fil rouge.
Espadrille brodée 35 €
Une idée pour l'atelier customisation ? Paillettes et perles fournies.
Bravo, votre sélection d'espadrilles est superbe. Je ne jure que par celles fabriquées dans le sud-ouest, le pays basque, une douceur de vivre...j'en rêve.
Rédigé par : anne-christelle | 29 avril 2006 à 09:32
bravo pour les espadrilles;
je vais sûrement en commander bientôt
bon courage facteur céleste
Rédigé par : jean kohler | 01 mai 2006 à 11:17
Votre article sur les chaussures de Mauléon m'a fait chaud au coeur, étant moi-même du Pays Basque...
Raconter des histoires d'espadrilles en parallèle avec leur esthétisme sort des sentiers battus et est intéressant ; çà les rend plus belles encore !
Merci Facteur Céleste
Rédigé par : Géraldine Grizzo | 03 mai 2006 à 23:21