J’ai cru quand j'ai connu Antonia que je la connaissais déjà...C’était en mars 2004, on fêtait Hinamatsuri, la fête des poupées au Japon.
J’ai exposé ses petits tableaux de mots d’amour découpés dans les vieux livres et cousus sur le papier. Elle voulait coudre aussi une poupée, et s’est jetée fièvreusement sur les tissus. Est sorti de ses mains un feu-follet tout vert qui m’a transportée...
Je lui ai montré le premier point de crochet, depuis elle n’a cessé de tournicoter du fil, de créer des choses toutes biscornues et totalement émouvantes. Ou de coudre des « rabaris », ces pochettes minuscules à secrets cousues par les nomades, comme elle l'italienne, dans Paris.
Une muse, une fille, une assistante, une prof d’italien, une cuisinière de "crostata", de "cafe a la crema", de multibio-salada, une téléphoneuse à la mama, une amoureuse de…, une danseuse, une trouveuse de trésors, et caetera et caetera … elle m’ a appris l’antonietta !
je suis totalement d'accord avec toi Delphine, Antonia c'est un petit bijou précieux!!!!
à vous deux, les idées fusent et sont géniales!!! à trés vite jespere!!!
mélanie :):)
Rédigé par : roussel mélanie | 28 février 2006 à 22:38