Ce matin j'avais plus que jamais envie d'écrire et même de dessiner. en fait, de joindre les 2 bouts, comme en BD. Mama TCha, venait de me faire connaitre un blog hilarant, mais qui a dû en fait m'ébranler.
C'est bien les blogs hilarants, sauf que çà rend adddddict non, et moi faut qu'je sorte de mon lit.
Savoir que j'ai tout doucement arrêté de dessiner quand j'ai su il y a presque 30 ans que j'allais avoir un bébé. Que depuis ce moment-là j'ai viré vers la couture, que je considère comme un art du design touchant les femmes /et hautement subversif avec le temps /et puis au fil des années qui ont passé comme pfuittt, il y a eu ce facteur, et puis cette espèce de stop au bout du rouleau, et me voilà enfin dans un état que je désire depuis que je suis enfant : grand mère (de MonMimi+MamaTCha)! et en même temps aussi furieuseengagée qu'à 18 ans.
Ce matin comme je n'avais pas de crayon sous la main, et que je ne sais plus où j'ai foutu le vierge carnet blanc qui m'attend désespérement, photoshop m'a sauvée, j'ai tâtonné avec toute mon ignorance, et voilà comment je suis arrivée à me dessiner, droguée de l'ordi mais consciente, irradiée. (je ne sais pas comment j'ai pu intégrer ce dessin, un miracle / pour le texte, j' arrive pas à le copier-coller, faudra repasser)
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çà y est j'y suis arrivée (je blogue plus du week-end, j'y ai passé ma matinée, a tchao les gens, je vais rejoindre la VRAIE VIE maintenant) voici mon rêve :
Cette nuit j’ai senti la maladie arriver, des sympômes genre angine, cerveau pétrifié, mal au cœur, comme une crise de palu très forte. Je me disais que j’étais moi aussi irradiée … Dans le pays de mon rêve, cette nuit, il y avait des touaregs, et un vaste appartement. Une magnifique collection de beaux tissus brodés, aux motifs ethniques colorés, recouvraient entièrement en couches épaisses le sol des chambres. En me réveillant dans la nuit (de mon rêve), je suis sortie, et dehors dans le paysage effacé par un brouillard jaune, je discernais des humains en train de s’activer en silence. On était en Afrique, et ces hommes et ces femmes étaient des touaregs. Ils creusaient des trous dans la terre et y cachaient des baluchons. On imagine pas ce qui se passe la nuit quand tout le monde dort, l’atmosphère était grave, d’une étrange beauté, la température agréable, mais le jour allait se lever, la chaleur pénible arriver, et les contours du réel allaient se préciser. Réveil, même pas malade, les membres bizarrement engourdis, et puis après le café c’est passé.
Il a fallu que je positive, j’étais désarmée, j’ai encore du mal à trouver le fil pour me calmer. Je n’avais qu’une seule solution, l’inscrire, l’analyser. Et si çà peut servir ...
http://boda.over-blog.org/article-16482417.html
c est pas mon blog qui t as contaminee ?
c est fou ce monde connecte a toutes sortes d ondes, revelant la hauteur de notre technologie et a la foi si deconnecte de l essentiel, qui pollu l air et l eau. telephoner sur un cellulaire a agadez m epate
sur mon blog j y ai mi un dessin, le fleuve Niger qui coule sans les frontieres, passant du desert a la mer. il n y a qu un petit bout du nord du Niger.
bon dimanche
Rédigé par : lolo | 30 mars 2008 à 10:42